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Titre: Approche technico-économique des fermes aquacoles en Oranie (Ouest algérien) Cas de la station de Ain Skhouna (wilaya de Saida) et de Sbiaat (wilaya de Ain Témouchent)
Auteur(s): MEHTOUGUI Farouk, KERFOUF Ahmed
Mots-clés: Fermes aquacoles
Aquaculture
Apport halieutique
Tilapia du Nil
Ain Skhouna
Sbiat
Ouest algérien
Date de publication: 6-fév-2013
Résumé: Face aux besoins croissants d’une planète où les ressources de la pêche sont limitées, l’apport de l’aquaculture ne cesse d’augmenter. De nombreux pays méditerranéens et actuellement en Algérie, l’aquaculture est en plein développement. En Algérie, le problème de relance du secteur de la pêche adopté par le gouvernement marque le début d’une nouvelle dynamique de développement du secteur. Cette activité est le plus souvent perçue comme une activité nouvelle venant au secours d’une activité de pêche stagnante. Elle se concentre sur les espèces de poissons à haute valeur commerciale et dont l'écologie est bien connue depuis de nombreuses années pour toute l'Afrique, entre autres le Loup, la Dorade royale les Tilapias et plus particulièrement le Tilapia du Nil. L’aquaculture suscite de par sa contribution à l’échelle nationale aux apports halieutiques un regain d’intérêt qui s’est manifesté par des encouragements et des subventions pour la création de fermes aquacoles. Le présent travail retrace les études de faisabilité technico-économique de deux fermes aquacoles de l’ouest algérien. La première unité aquacole continentale est située dans la wilaya de Saida, à Ain Skhouna. C’est la première ferme aquacole dans la région et s’est spécialisée dans l’élevage du Tilapia du Nil. La seconde unité aquacole marine spécialisée dans l’élevage du loup et de la daurade située dans la wilaya d’Ain T’émouchent, à Sbiaat, n’est qu’à ses débuts. Cependant, d’après notre enquête, l’aquaculture intensive rencontre des problèmes quand au choix de l’aliment le plus favorable permettant des taux de croissance élevés, d’assurer un bon état sanitaire, une qualité organoleptique acceptable, d’avoir un coût le plus bas possible et d’avoir le moins d’impact possible sur l’environnement. C’est dans ce contexte que se place notre problématique qui se veut de contribuer aux de faisabilités des fermes aquacoles lancées dans le cadre de la relance du secteur de la pêche dans notre pays.
URI/URL: http://hdl.handle.net/123456789/495
Collection(s) :Biologie

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